Press Today

Comment les banques gèrent l’absence de contrôle formel des capitaux

Kenza OUAZZANI- Nous faisons clairement face à une situation anormale (…) due à un manque de décision politique. Des mesures ont été prises dans des pays ayant vécu des situations similaires mais nous ne comprenons pas pourquoi nos autorités ne les mettent pas en place », confie un banquier, en référence à la non-instauration d’un contrôle des capitaux. Depuis la fermeture des banques pendant 14 jours consécutifs et leur réouverture le 1er novembre, la question de savoir si le Liban allait ou non mettre officiellement en place un contrôle des capitaux préoccupait bon nombre d’acteurs économiques, jusque-là habitués à une libre circulation.
Lire l’article complet