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Le Liban a besoin d’une loi juste sur le contrôle des capitaux

Paul Jean MERHEB HARB- Depuis désormais six mois, les déposants libanais vivent sous le régime des mesures prohibitives que les banques ont mis en place, en accord avec la Banque centrale (BDL), pour limiter certaines opérations bancaires. Censé être temporaire, ce régime informel de contrôle des capitaux heurte la propriété individuelle et le système de la liberté économique, consacrés par la Constitution. Dès sa formation, le gouvernement dirigé par Hassane Diab s’est d’ailleurs engagé à adopter rapidement une loi permettant d’encadrer et d’harmoniser ces restrictions, rendues nécessaires par le contexte de crise financière, conformément aux demandes émises en ce sens par la société civile et le secteur bancaire lui-même.
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